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Injections COVID 19 et effets indésirables graves : Mauricette Doyer est morte

Mauricette

Hier, Mauricette est morte. Qui est Mauricette ? La première vaccinée mise en scène par tous les grands médias ? Non, non. Celle-là est bien vivante et si le journal Libération ose penser l’amalgame qu’il faudrait lever dans la tête de ses lecteurs, ce n’est que pour mieux défendre l’inoculation du produit expérimental contre la Covid 19, produit avec AMM conditionnelle (AMM définitive 27 octobre 2022 pour Moderna, 8 février 2024 pour Pfizer BioNTech).

L’inoculation obligée reçue avec confiance

Notre Mauricette morte hélas hier est l’épouse de Marc Doyer. Je dis “notre ” car son histoire émeut tant de personnes sur les réseaux sociaux dont je suis. Tous les deux avaient reçu confiants l’injection rendue quasi obligatoire depuis le 12 juillet 2022 par Emmanuel Macron. Obligatoire pour les soignants. Obligatoire “de manière déguisée” pour tous ainsi que l’a assumé le ministre de la santé Olivier Véran ayant durci les conditions d’obtention de l’azithromycine, après Agnès Buzyn ayant “classé sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes”. RIP ce jour-là le consentement libre et éclairé. L’urgence dans les faits n’existait plus pourtant et la décrue de la Covid 19 était largement constatée.

Il y a une force dans cette mort de Mauricette Doyer, force que personne ne pouvait prévoir. Voici plusieurs mois que, dans une douleur extrême, Marc Doyer témoigne de l’accompagnement exemplaire qu’il vit auprès de sa femme tombée malade quinze jours après la deuxième injection Pfizer. Son compte twitter précise de quelle maladie il s’agit “Ma femme victime du vaccin Pfizer, maladie prion vache folle”. Depuis son témoignage dans l’émission Touche Pas A Mon Poste d’autres cas de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) lui ont été régulièrement remontés. Ceux qui mettraient en doute que la maladie soit post injection, qu’ils ne se fatiguent pas : Marc Doyer affirme que ce sont des médecins eux-mêmes qui l’ont constaté.

Marc et Mauricette : l’amour “loyal”

Que de tweets pour saluer l’amour de cet homme pour cette femme ! Que de mots pour dire l’admiration d’un tel amour jusqu’au bout ! “Je souhaite à tout le monde de connaître un amour si loyal”, tweete Ilan. “Pendant quarante ans, c’est facile d’aimer une personne, mais tellement difficile d’accompagner son être cher jusqu’au bout et d’arriver encore à s’aimer” avait expliqué humblement Marc Doyer. Doctothon de son côté écrit en hommage “Des âmes sœurs séparées par la mort. Mais l’amour qui les lie, lui, reste entier, puissant, indestructible… Nous sommes avec toi, Marc Doyer, par nos pensées, notre amitié et notre détermination”.

Les condoléances affluent. Les marques de sympathie sincère font monter un buzz tellement humain ! Une chose est sûre : tout commence. “J’ai combattu huit mois pour sauver ma femme, un autre combat commence celui de la vérité” assène tranquillement le porte-parole de Vérity France qui voit sa juste cause relayée depuis quelques semaines par l’association Où est mon cycle

Mauricette morte, le combat “terrible” commence

C’est évidemment le grand danger pour le camp du forcing : un homme de cœur, vrai, très intelligent dans ses mots et sa posture, blessé à mort, déterminé, non-violent qui ira jusqu’au bout, c’est sûr. Les “chantres de la vaccination” vont devoir s’expliquer eux qui étaient “moins bavards” hier comme le soulignait l’oiseau bleu d’Elon Musk.

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