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Le Français Gilles de Robien à la tête du BIT ?

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Revue de presse : “La bataille mondiale du social”

  Bientôt centenaire, l’Organisation internationale du travail (OIT), fondée en 1919, passe pour le “parlement mondial du travail”. Chargée de concevoir et de faire appliquer les normes internationales du travail, cette agence de l’ONU dont le siège est fixé à Genève cherche à s’imposer comme un partenaire incontournable dans la gestion de la crise économique, qui maltraite les règles sociales.

  Après douze années à la tête de l’OIT, le Chilien Juan Somavia va quitter son poste. Le 28 mai, le conseil d’administration du Bureau international du travail (BIT), le secrétariat permanent de l’OIT, son quartier général opérationnel, doit élire son nouveau directeur. Neuf candidats sont en lice, dont le Français Gilles de Robien, proposé par Nicolas Sarkozy mais également soutenu par le nouveau gouvernement socialiste…

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Pour mémoire :

L’Expansion, 12 juillet 2010, Des assises sur les centres d’appel, pour quoi faire ?

L’Expansion, 26 mai 2004, La France veut contrer les délocalisations des centres d’appels.

Vie publique, 25 mai 2004, Déclaration de Monsieur Gilles de Robien, à propos du développement des centres d’appel.  Extrait : « Concurrence aussi avec les pays à bas coût de main d’œuvre, j’en ai visités une quinzaine en quelques mois, qu’il faut pouvoir traiter sans sacrifier nos équilibres sociaux et bouleverser notre modèle de société. Ceci passe par un triple effort. L’État et les collectivités doivent pouvoir, lorsque c’est indispensable, adapter la réglementation du travail de nuit ou du dimanche comme cela s’est fait pour plusieurs professions et comme cela se fait souvent, avec vos entreprises, à titre dérogatoire. Je prendrai contact à ce sujet avec mes collègues du gouvernement pour examiner ce qui peut être fait. »